galerie 309 GTI by Rydia (et ses comptes)

Une galerie, ce n'est pas que de la créa 'toshop, c'est avant tout des photos
Et moi, j'aime les belles photos

Comme les photos étaient vraiment trop grande à l'origine (10Mp ça fait un peu plusieurs fois vos écrans ) je poste les photos sous forme de lien et 1024*768.

Photos extérieures:
trop belle
again
Avec la Suoer 5 derrière
la dernière a été prise avant de faire ce post
Vu comme ça elle a l'air nickel de l'extérieur mais...

défauts extérieurs:
pas beau
beeeehhh
ouais encore
une dernière?
perdu!
un peu de rouille donc
pas bien

et le toit qui est...déboité? à droite
Rien de gênant dans l'absolu.

Photos intérieures:
volant
je sais plus
levier de vitesse je crois
siège
places arrières
Encore une fois bon état intérieur

défauts intérieurs:
vilaine lumière
rien de grave, la lumière qui "flotte" un peu, je sais pas comment réparer ça mais si y'a quelques choses dont je ne me sers jamais, c'est ça.
pas de chance
plus embêtant: le levier pour ouvrir le capot qui avait craqué à cause du froid le jour où je suis allé voir la voiture, normalement samedi je vais à la casse en récupérer un


Voila

j'ai aussi une vidéo où l'on voit rien (nuit inside, d'où mon absence tout à l'heure) mais l'essentiel est là: on entend le moteur. Ca intéresse?

Moi je veux bien entendre le son aussi ^^

En cours d'upload sur youtube

Je poste le lien dès que c'est fini

https://www.youtube.com/watch?v=yyAkHA9PCOo

Sans mentir, j'aime oO

Qu'est ce que ça donnera en poussant un peu ^^

Ca fait plaisir à lire

Quand je pousse c'est...la même différence entre le lion qui ronronne et qui rugit ' (et je déconne pas ')

Joyeux anniversaire créateur de cette section

Et en cadeau je te met cette petite vidéo, hommage à un homme qui a vécu sa passion jusqu'au bout.

Spoiler:

Superbe vidéo!

J'aimerais bien participer à des rallyes avec ma 309 mais le prix des modifications obligatoires (arceau de sécurité + quelques trucs) représente un budget relativement léger (compte tenu du prix des modifications que font certains) mais trop cher pour moi.

Un jour peut-être

C'est vrai que faire du rallye ce doit être juste énorme, mais quand tu es amateur de sensations fortes ^_^

Et le problème, en plus du fait que modifier la voiture est assez chère, c'est que du coup elle devient vraiment une voiture de course, et donc plus de place passagers à l'arrière

C'est pour ça que je prend la r5 de base, et que si un jour j'ai envie de plus de puissance, j'investis dans une r5 GT turbo mais je modifierai pas ma 'tite super 5 rouge ferrari

Les places arrières sont justes enlevées pour gagner du poids mais tu peux les laisser.

Et pour les avoir déjà démonter 2x cette semaine je peux te dire que c'est vraiment vite fait (5-10min)

Ah c'est cool à savoir, je pensais que la mise en place de cette "cage de protection" t'obligeais à condamner les places arrières.

Bah même, tu prends un arceau à visser et tu le vires facilement si nécessaires

Heu peut être xD

Mais si tu fais ça prend du solide, parce que c'est plus que nécessaire à mon avis x)

Les arceaux sont là pour renforcer la caisse hein! pas pour être inutile

Spoiler:

Le son n'est toujours pas bon m'enfin <.<

4000trs/min à froid, c'est pas bien =.=

Après une longue inactivité, le retour de ma 309

Spoiler:

La prochaine fois ce sera beaucoup plus speed


(accessoirement une 2e version de la vidéo arrive, plus courte et avec une chanson plus speed)

la 2e version

Spoiler:

Livin on a Prayer passe mieux pour cette vidéo, mais pour la prochaine, pas de doute, ce sera de l'eurobeat à coup sûr

Dans un tout autre registre, voila quelques poèmes en prose, j'appelle cela ainsi parce que la définition donnée par Nizet correspond, donc voici ce que j'avais déjà écris mais jamais partagé avec vous:

Citation :

Drogue

Ce soir encore je ressentais un manque, ne le supportant pas, je me décidais à sortir.
Il me fallut bien 30 minutes pour que l'aiguille soit prête, l'adrénaline coulait en moi: enfin j'allais assouvir ce besoin.
Une première fois j'enfonçais l'aiguille aussi profondément que je le pus, celle-ci déversait son poison en moins, une fois finie, je pris la seconde, la troisième.
À mesure que ce désir diminuait ma vue se troublait, au point de n'être claire qu'au loin devant moi, les côtés se transformant en lignes floues.
Cinquième fois que j'allais enfoncer cette aiguille au plus profond de mon âme, celle-ci dura vraiment longtemps, mais au final, un sentiment de plénitude, je tremblais autant d'excitation que ne le permettait mon corps assis, fixant l'horizon avec une lueur dans les yeux.
On a beau dire que c'est dangereux, je ne peux me résoudre à m'en passer.
Il n'y avait plus aucun doute maintenant, il m'en faudra toujours plus, plus de puissance pour enfoncer l'aiguille dans le compte-tours et perdre toute raison pour ce court bonheur qu'est celui d'être lancé à plus de 200 km/h sur une route déserte où notre seule peur est que cela s'arrête.

Citation :

Prison

3 mois déjà, 3 mois que je me rendais compte que j'étais prisonnier. Combien de temps l'avais-je été avant cela? Je n'en avais aucune idée. Comment m'en étais-je rendu compte? Je ne m'en souviens pas, c'était devenue une évidence un matin, peut-être l'explication se trouvait dans ce rêve que je faisais chaque nuit, ce rêve où je poursuis cette lumière blanche sans pouvoir l'atteindre. Était-elle synonyme de liberté? Je maudissais ma cellule qui me retenait, non pas que j'eus été incapable de m'en échapper, mais j'ignorais tout ce qui se trouvait derrière, je n'en voyais que l'obscurité totale, peut-être même qu'en face de moi se trouvait une personne dans la même situation que moi, mais cette oppressante noirceur m'empêchait de le savoir. Mais maintenant j'en étais sûr: ce soir, j'allais briser tout ce qui m'enchainait à cette vie que je n'avais demandé, ce soir, je rattraperai cette lumière blanche.


Le soir arriva, dans ma tête, je m'imaginais être à moto sur un pont qui s'effondrait derrière moi. Cela représentait bien l'impossibilité que j'avais de changer d'avis. Je fonçais, et lorsque la porte céda, je rouvris les yeux. Il était trop tard, la folie m'avait emporté, pourtant je la voyais, je l'avais rattrapé. J'en étais désormais sûr, cette lumière que je voyais en rêve était celle que l'on voit avant de mourir...

Citation :

Douleur

Quelle idée j'ai eu de la croire... Elle était si naturelle, elle était vraie... Elle n'était pas comme toutes ces filles qui n'ont d'yeux que pour leur corps et qui oublient qu'il y a quelque chose derrière ce corps. Je l'ai cru, je l'ai suivie sans hésitation, vivant au jour le jour. Je ne peux pas dire que je regrette, ce serait mentir. Pourtant arriver à cet instant, j'éprouve des remords de n'avoir été qu'avec elle, l'instant où l'on se sent comme trahit est vraiment douloureux. Si j'avais une moto sans doute foncerais-je en ville en espérant percuter une auto, si j'avais du cran sans doute me jetterais-je d'un pont avec le maigre désespoir de survivre. Pourtant, malgré toute cette douleur, malgré que je savais que cela finirait par arriver, que je me retrouverai seul, je ne peux me résoudre à en finir. Après tout, je l'ai suivi de mon propre gré, et plus encore, elle m'a accordé sa confiance et m'a défendu contre vents et marées. Pourtant je suis sûr qu'au fond d'elle elle savait qui j'étais, et c'est parce que j'ai cette intime conviction que je ne peux pas me résoudre à la faire souffrir.

Dans un registre s'approchant plus d'une histoire courte:

Citation :

Il était 3h, la nuit battait son plein de par son calme apparent, c'est à ce moment-là souvent que l'on entendait le démarrage de cette antiquité. Cela faisait déjà plus de 50 ans que l'électrique avait remplacé ces choses archaïques que sont les moteurs à combustion interne. De nombreuses rumeurs tournaient dans la région, et même depuis peu dans le pays, à propos de la présence d'un fantôme sur l'une des rares routes qui n'ont pas été rénové dans ce qui reste de ce coin de campagne. Tous les habitants des villages alentours savaient que cela n'avait rien de fantôme, ils connaissaient bien le propriétaire de cette bruyante antiquité, mais aucun ne savaient que le conducteur fantôme était ce vieil homme. De nombreuses personnes étaient venues défier ce fantôme, mais aucun n'avait su se montrer plus rapide, la raison était simple pour ceux qui avaient connu ces vieux moteurs: l'automobile avait été autrefois une passion. Bien sûr il restait quelques modèles "sportif", mais ce mot désignait des modèles aux performances aussi archaïques que leur technologie était récente: la plupart des routes actuelles étant parfaitement lisse, ces modèles étaient incapables de rester efficace sur une route abimée comme celle-ci.

Il était maintenant 3h30, déjà une demi-heure que le vieil homme roulait dans le passé, le duo enchainait les virages avec une agilité qui rappelait les oiseaux. Le vieil homme le savait: il allait devoir freiner après le prochain pont...

Un malaise, des excuses et des larmes le temps d'une demi-seconde. Le vieil homme et son auto venait de passer l'arme à gauche.





Les habitants se réveillèrent tous à 4h30, heure à laquelle ils entendaient le vrombissement du moteur qui revenait de son escapade nocturne. Ils cherchèrent leur ami, mais ne trouvèrent rien de plus qu'un arbre qui avait été percuté. Désormais la rumeur sur le fantôme devint une légende locale, ou plutôt, une réalité, car en roulant la nuit, il était encore possible d'entendre la rage de ce moteur qui avait parcouru le temps comme aucun autre ne l'avait fait auparavant.

Citation :

Le rendez-vous avait été fixé à 16h, je jetais rapidement un oeil à mon poignet pour constater que j'avais dix minutes d'avance. Je ne comprenais pas comment je faisais, j'avais beau me ralentir au maximum, je finissais toujours par être en avance.

Le tram s'arrêta en face du banc où j'étais assis, je regardais les gens sortir et entrer, puis il repartait. Cette situation se reproduisit encore deux fois avant qu'il n'arrive, il avait un sachet en main.

Après quelques salutations dont nous aurions pu nous passer, nous marchèrent vers l'amphithéàtre où avait lieu la coloque. Une fois installé nous parlâmes de sujets aussi inutile que drôle, plusieurs fois je notais l'ironie de la chose: lorsque l'on est avec un ami, n'importe quel sujet peut devenir source d'inspiration.



L'explosion.
L'alarme.
Les cris.
La confusion.

Que venait-il de se passer? Mon corps me hurlait de sortir tandis que mon cerveau cherchait à comprendre en observant au tour.

Dehors.
La fumée.
La confusion.
L'horreur.

Pourquoi est-ce que je courrais? Je n'en avais aucune idée, j'avais beau vouloir m'arrêter, la seule chose que je parvenais à faire était penser. Je n'avais aucune idée de où était mon ami. Peut-être était-il déjà sortit?

La sortie de la ville.
La peur.
La fatigue.
Le froid.

J'étais épuisé, pourtant mon corps n'avait cessé de courir, se trouvant des ressources qui m'étaient inconnues. J'ignorais ce que je faisais à la sortie de la ville, je ne comprenais toujours pas ce qui cétait passé. Je commençais à resentir le froid. Dans la précipitation je n'avais pas prit ma veste. J'étais en t-shirt en décembre, à je ne sais combien de minutes de chez moi, épuisé.

La forêt.
L'obscurité.
Les bruits.
La solitude.

Mon corps ne m'obéissait toujours pas, guidé par un puissant instinct, je m'étais retrouvé en début de soirée au beau milieu de la forêt. Cette sensation de n'être que spectateur de sa propre vie était définitivement horrible et je commençais à croire que j'étais mort. J'observais, mais je ne voyais presque rien. J'écoutais, mais le bruit de mes pas et de ma respiration couvrait le reste. J'étais seul.

L'ombre.
Les coups.
Le sang.
L'inertie.

Le corps d'un sanglier gisait à mes pieds, j'étais couvert de blessures mais ne ressentais pas la douleur. Je le regardais encore un peu, cherchant à comprendre, puis le laissait là, seul, abandonné de tous et surtout, de sa propre existence.

Le tunnel.
L'épuisement.
Les ténèbres.
La lucidité.

Je m'affalais sur un banc de promeneurs. Il semblerait que j'avais réussit à récupérer mon corps. Je regardais les grosses plaies et le sang qui en coulait. Pourtant je ne souffrais pas. La fatigue me rattrapait à grands pas. Mes yeux se fermèrent doucement, succombant à la fatigue.

C'est là que je compris. Je mourrais. Et j'allais mourir sans savoir ce qui m'était arrivé. Cela me frustrait mais mes pensées s'effaçaient.

Tentative de one-shot un peu zarbi, je voulais essayer de "zapper" tout ce qui pouvait ressembler à une phase d'action en la remplaçant à chaque fois par quatre mots que l'on retrouvait plus ou moins dans le petit paragraphe qui suivait.