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 Présentation de Nathalia

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Nathalia

Nathalia
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MessageSujet: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeDim 5 Mai - 17:32

Fiche de Présentation

Nom : Edelweiss

Prénom : Nathalia, Fransisca

Race : Caelesticienne (autre race)

Âge : 35 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Hétérosexuelle

Statut : Bon

Taille : 1,72 m

Poids : 52kg

Physique : J'ai de longs cheveux blancs qui me descendent en cascade jusqu'aux genoux et un frange asymétrique pour casser un peu le côté droit de la coupe. Ma peau est claire, mes yeux sont grands, violets et je porte généralement une coiffe de plumes sur la tête. Je suis assez grande, fine et encore une bonne poitrine pour une femme de mon âge. Bien qu'il fut un temps où je ne faisait plus trop attention à ce que je mettait à part de longues robes où des habits sombres dû à la mort de mon mari, je me suis récemment remise à porter des habits qui valorisent plus ma silhouette. Il s'agit d'une robe uni noire dont le bas est plissé, assez courte pour lui permettre de bouger facilement sans être gênée et peut mettre de temps à autre une longue cape de plume blanche en forme d'ailes d'oiseau lorsqu'il faut que je me rende à l'extérieur. Mais ce n'est pas tout d'être bien habillée, il est également nécessaire  en tant que souveraine d'avoir de quoi se protéger en cas d'attaque. C'est pour cette raison que je porte de longue bottes à talon en acier lourdes, assorties à une sorte d'armure couvrant mon ventre en corset et les bras également par dessus mes gants de soie violets assortis aux bas, au dessus desquels sont mis des sortes de jarretières en pierres noires. C'est devenu ma tenue de référence, puisqu'à la fois pratique et jolie. Les grandes robes à panier de 15 mètres de tissus et les ornements en tout genres, j'ai laissé tombé depuis que je règne seule sur le trône, excepté s'il doit s'agir de réceptions importantes nécessitant un dress-code particulier.

Caractère : De nature douce et bienveillante, Je ne suis pas quelqu'un de désagréable ni de méchant. Je ne m'énerve pas facilement car l'on ma appris à maîtriser ma colère face à n'importe quelle situation. J'ai également le sens des responsabilité, je sais faire la part des choses et me comporter comme tout bon souverain se devrait de l'être. Ce que je me suis souvent reprochée parfois était mon comportement d'enfant modèle qui obéissait à tout ce qu'on lui disait sans jamais poser de questions. Il était vrai que c'était une qualité pour mes parents, mais je me suis rendu compte très tard que finalement ce n'était pas ce qu'il y avait de plus normal pour un enfant. Je n'avais pas ce grain de folie car j'ai toujours été assez sérieuse, on peut dire que je suis plutôt quelqu'un qui suivrait plus sa raison que son cœur. J'ai cependant un fort caractère lorsque je me met vraiment en colère, il ne faut pas croire que parce que mon gabarit n'est pas très imposant que j'accepterai de me marcher sur les pieds. En tant que reine, j'ai juré de ne jamais me laisser faire si facilement et de capituler avec l'ennemi sans me battre. Je me méfie aussi fortement des démons, car c'est une espèce que je n'affectionne pas vraiment. Il faut dire qu'il y a de quoi, car j'ai horreur des coups montés et des mensonges. Autrement, je suis une mère très à l'écoute de sa fille, que j'ai même parfois tendance à vouloir trop protéger même si je vois bien que les enfants peuvent grandir et vouloir devenir autonome à une vitesse folle.

Histoire :[i]Je naquis un matin d'hiver au château d'Hilar, tout comme mes prédécesseurs, avec pour première identité le titre de marquise de Vaillant. A peine savait-je parler que l'on m'enseigna tout ce que l'on disait à l'époque nécessaire de savoir pour se comporter comme chacun de nous se devait de le faire et afin d'avoir une bonne place dans la société. J'eus donc beaucoup de temps à sacrifier à cela, mais je ne me plaignis jamais et me contentait comme tout bon enfant de mon âge, d'obéir à mes parents. Ce qui n'étaient pas pour leur déplaire, j'étais même devenue une fierté pour eux car je me soumettais toujours au modèle que l'on me disait à suivre et qu'en plus de cela, j'apprenais très vite sans trop de difficultés. Mais quand bien même je m'efforçais de faire tout ce que l'on me disait, je finissais pas me rendre compte petit à petit du poids émotionnel que cela représentait sur ma brève existence. Ce n'était pas de tout repos, ni d'un grand amusement et comme tout enfant, l'amusement m'était toutefois nécessaire. Heureusement, j'avais toujours mon petit frère avec lequel je passais la majeure parti de mon temps libre et je m'en considérais comme chanceuse car il était de loin le meilleur divertissement que je pouvais avoir en ce temps-là. Ce qu'il me faisait rire, il avait ce petit côté comique dont je ne me serais jamais lassée et un répondant vis à vis de tout le monde que je trouvais fascinant dont moi, je n'aurais jamais été capable d'oser. Je crois bien qu'il se fichais de ce qu'on pouvait lui dire parfois, sauf quand notre père venait nous parler. Auquel je savais que son comportement oisif et obstiné ne plaisait guère. Mais ce n'était rien comparé à la grande faute qu'il commit un jour de pluie, alors que personne ne savait qu'il était sur le point de faire une énorme erreur qui allait avoir des répercutions à vie. Lorsque nous étions toujours enfants, je le surprenais souvent en train de discuter seul, croyant qu'il mimait la voix avec laquelle il parlait. Mais il n'en était rien, car celle-ci était bien trop grave pour appartenir à quelqu'un d'aussi jeune. J'eus alors peur, peur qu'il devienne fou, il devait s'être inventé un ami imaginaire, mais ce qui me subjugua d'effroi fut lorsque je vis deux ombres bien distinctes où il se tenait souvent. Aussitôt que je ne puis plus tenir ma langue à cause de l'effroyable peur qui me saisissait, j'alla prévenir en toute hâte ma mère, qui en parla à son tour à notre père. Quel comportement responsable avais-je en en faisant cela, car l'on découvrit de ce fait qu'un démon avait investi les lieux, à cause d'une maladresse de mon frère. Heureusement pour nous, on se chargea vite de son cas et il fut enfermé par trois sorcières, au fond d'un puit dans les ruines de l'ancienne capitale. Mais je savais que tout était possible, que des simples chaînes même ensorcelées par les meilleurs sorcières ne pouvaient pas prévenir d'une éventuelle fuite. Ces êtres-là sont malins et trouvent toujours un moyen d'accéder à leur fin, alors je tenta de détruire la planche de Ouija avec laquelle Arcadio avait invoqué ce démon en la jetant parmi les braises de notre feu de cheminée. Quelle sotte étais-je de croire que cela suffirait à nous débarrasser définitivement de cet être sournois, la planche réapparut devant moi, alors que je me lavais le visage dans notre salle de bain et les lumières s'éteignirent. Puis se ralluma, montrant dans la glace en face de moi une énorme serpent qui se fracassa la tête la première contre le miroir, me faisant hurler de peur au fur et à mesure que de toutes part les objets s'étaient mis à bouger tous seul. Puis plus rien, seulement le miroir fissuré comme si l'on avait donné un coup de poing en plein milieu, avec une inscription en rayures sur la glace.

"Tu me le paieras."

Bien que cet être maléfique avait plus l'air d'un simple clown de carnaval farceur que d'un démon typique bien effrayant et séducteur, j'avais le sentiment qu'il y avait quelque chose de vraiment dangereux chez lui. Par conséquent, même s'il ne représentait pas une grande menace, je décida de ne plus me mêler de cette affaire. Ce que j'espérais seulement, c'était que rien n'arrive à mon frère un jour, car je tenais énormément à lui.

Les années passèrent et tout semblait avoir reprit son cours normal, j'étais maintenant devenue une noble jeune fille de bonne famille à qui mes parents passaient volontiers tout ce dont j'avais besoin tant que je suivais à la lettre l'éducation que l'on me consacrait toujours. Parmi mes obligations, se trouvaient les soirées mondaines, sortes de réceptions fastueuses entre membres de l'aristocratie qui ne nous le cachons pas, étaient la plupart du temps faites pour étaler les richesses de chacun et de faire par l'occasions des échanges aussi bien politiques que culturels. C'est au cours d'une de celle-ci que je me fit remarquer par un grand nombre de personnes de la haute société, car l'organisateur m'avait prié de lui accorder quelques minutes afin de discuter plus personnellement. Damian, un lointain cousin éloigné à qui son père venait de lui léguer son titre de roi ainsi que la quasi totalité de la fortune qui suivait depuis de nombreux siècles. On ne pouvais pas ignorer à quel point toutes le femmes de la haute aristocratie désiraient s'entretenir avec lui ne serait-ce qu'un cours moment pour tenter au final de peut-être gagner son cœur, ainsi qu'une place au côté du roi tout puissant. Et les rumeurs qui circulaient en allant de bon train ne mentaient pas, il était grand, beau, avec une magnifique chevelure d'un doré presque cousu au fil d'or. Au final, il avait tellement de prétendantes que le pauvre ne pouvais plus passer une soirée tranquille sans se faire solliciter par toute la haute-aristocratie du royaume. Alors lorsqu'il me demanda de rester pour l'écouter un peu, j'eux immédiatement malgré moi une réputation qui se forgeait derrière moi dos. Bien évidemment, je ne me souciais guère de toutes ces jalouseries car il m'était tout à fait normal de passer un peu de temps avec un membre même très éloigné de sa famille, même s'il restait un membre de la famille royale. Mais ce que personne ni même lui ne savait, était qu'un mariage arrangé se préparait secrètement à son sujet, conformément au souhait de la reine mère. Bien des jours après cette rencontre, on reçut sa visite au château fréquemment sous prétexte qu'il désirais discuter avec moi, alors nous parlions, de tout et de rien, même si cela me paraissait étrange qu'un homme de son rang veuille perdre du temps à venir ici juste pour discuter, mais cela semblait lui plaire, alors je m'y suis faite. Cela se répéta jusqu'au jour où je finis par me rendre compte que j'avais commis malgré moi une faute irréparable, qui me mettait aussi bien dans l'embarras que lui. Avec le temps et les nombreuses entrevues que nous eurent ensemble, j'avais finis par en tomber amoureuse. Ce qu'au début je ne pouvais me pardonner car je savais fort bien que l'on finirait par le marier de force à une des grandes dames de la planète. Ce que je ne savais pas encore en revanche à l'époque, était que de son côté aussi, la chose était réciproque. Lorsque je l'ai apprise, je me suis toute suite dit qu'il valait mieux arrêter de se fréquenter pour le bien de tous, aussi bien de lui, de moi où de nos familles. Ce n'était pas tant le fait que nous soyons de très lointains cousins que nos familles liaient depuis des siècles qui me gênait, mais le fait que je ne pouvais consentir moralement à un tel choix de vie, car je savais pertinemment que ce n'était pas le bon chemin à suivre pour une personne de mon rang. J'eus un immense chagrin de laisser toute cette histoire de côté, mais j'en encore plus de peine en constatant également que j'avais gagné secrètement le cœur de son frère jumeau, Lysias. Mais malgré ma juste décision, j'avais beau essayer mainte fois de me convaincre de penser à lui, cela n'effaçait pas mes sentiments à son égards, alors devant un autre aveu d'amour comme celui que j'avais à nouveau sous les yeux, j'ai préféra être honnête et refuser une fois de plus, un cœur qu'on me tendait. J'ai dû mentir, même au propre frère de la personne que j'aimais pour me sauver de toute cette tornade qui emportait ma raison hors de moi. Puis vint le coup de grâce, peu de temps après que l'on apprit les fiançailles forcée du prince que je m'efforçais de ne plus aimer avec douleur et chagrin un peu plus chaque jour, ce fut mon tour de me voir passer la corde au cou. J'allais moi aussi à mon grand damne, devoir me marier dans l'intérêt de la famille, chose qui malheureusement restait courante pour tout individu de sexe féminin dans ce monde régit par la patriarchie. Nous ne surent respectivement pas le nom de nos futurs conjoints, jusqu'au jour de notre mariage où je découvris à peine quelques heures avant la cérémonie, dans la salle de préparation quel allait être mon destin. Pourquoi y avait-il tant de monde dehors, que je voyais en abondance venir de partout dans les rues de la ville à travers la fenêtre ? Pourquoi avait-on enfilé un diadème en diamants dans mes cheveux ? A aucun moment, je n'aurais pensé un jour devenir reine de la planète en épousant par chance inespérée, le prince que j'aimais tant. Car il avait été convenu d'unir à nouveau nos deux famille dans le but d'éliminer définitivement toute concurrence avec les familles voisines et ainsi préserver le sang de nos ancêtres. Je vécu les plus belles années de ma vie dès l'âge de 20 ans aux côté de l'homme que j'aimais le plus au monde et d'une petite fille, un cadeau du ciel qui m'avait été donné l'année précédant notre mariage. Ma précieuse petite princesse, que j'avais la liberté d'appeler Amyline, un prénom que j'affectionnais beaucoup et qui surtout brisait quelque peu la tradition des noms plus anciens que l'on donnait aux enfants de ma famille où que l'on attachait à la suite de ceux-ci. Dix années de bonheur nous ont été donnée avant que le sort s'acharne sur nous, mon mari mourut, assassiné en pleine nuit alors qu'il travaillait à son bureau et je n'ai rien vu venir... Même les gardes ont étés incapables de fournir la moindre excuse, j'ai alors immédiatement lancé une enquête à ce sujet, afin d'avoir le cœur net sur la raison de cet acte et surtout qui l'avait commise. Mais l'enquête ne cessa de perdurer, si bien que je me demandais si nous allions mettre la main dessus un jour. Et pourtant, quelque chose d'impensable arriva. Je ne pus y croire, mon défunt époux se trouvait là, devant moi, j'ai tout d'abord cru à une illusion, mais le contact chaud de la paume de ses mains en avait prouvé le contraire. J'ai alors pensé qu'il s'agissait d'une fausse mort, mise en place par sécurité en sentant qu'un intrus c'était approché des appartements du palais. Oui, j'ai d'abord cru à cette histoire, en me disant que cela n'avait été qu'un mauvais rêve, bien trop heureuse de revoir à nouveau le semblant de l'homme disparu si cher à mon cœur. Avant de me rendre compte que quelque chose clochait dans tout cela. Son comportement, l'atmosphère qui s'émanait de lui était étrange, elle était différente de ce que j'avais pu ressentir chez lui durant toutes ces années de vie conjugale. Toutefois, je m'efforçais de faire sembler de croire à ce que j'avais sous les yeux, en dissimulant les doutes que j'avais face à lui. Ainsi, j'évitais tout soupçons à mon égard. Néanmoins, je poursuivis avec discrétion mon inspection, jusqu'à trouver le fin mot de cette histoire. C'est d'ailleurs là que je remarqua avec stupeur que la tâche de naissance qu'il avait d'ordinaire sous le poignet avait disparue. Tous ces doutes et détails accumulés me firent penser qu'il s'agissait d'une imposture, ce que j'eux raison de croire en réalisant en fait qu'il ne s'agissait pas de Damian, mais de son frère, Lysias.  Aux vues de ce que j'avais découvert, j'informa de ce pas dans la plus grande discrétion le Haut Conseil de la Couronne, qui enquêta sur le sujet et qui envoya de ce pas la garde royale ainsi que deux responsables chargés de vérifier cette affaire. Comme cette tâche de naissance avait été désignée à son intronisation comme moyen de vérification contre l'usurpation, le constat allait vite révéler s'il s'agissait où non du vrai roi. Et le verdict tomba, il n'y avait en effet pas la moindre tâche d'une quelconque tâche de naissance, ce qui confirmait officiellement l'identité de cet usurpateur. Le Haut Conseil de la couronne destitua donc immédiatement Lysias de son droit d'accès au trône, de son titre de noblesse ainsi que de sa fortune et fut enfermé dans les cachots du palais. On avait préféré l'y enfermer à la place de la Prison centrale, là où l'on craignait qu'il ne se fasse tuer par les autres détenus et que par conséquent, qu'il ne daigne jamais répondre à l'interrogatoire qu'on lui faisait quotidiennement dans le but de savoir ce qu'il avait fait du vrai roi. Malheureusement, il avait réussit à s'échapper on ne sait comment. Ce n'est qu'un jour totalement inattendu que Lysias revint au palais, m'infligeant une blessure dont seul moi avait été témoin alors que je me reposait. J'eus droit à une ultime proposition, où plutôt une menace de sa part. Soit je lui cédait comme il l'avait toujours voulu, soit je mourrais. Le décompte lancé, j'étais prise au piège et il ne me restait qu'une solution face à ce que ce perfide traitre préparait avec sa horde démoniaque. Il me fallait trouver de l'aide auprès de l'extérieur, car la menace qui planait sur la planète entière était bien trop grande pour que nous arrivions à nous débrouiller seuls. Le peuple se dispersait, s'entretuait, certains étaient même persuadés que se joindre à l'ennemi serait meilleur que de périr en même temps que la planète. Connaissant les compétences technologiques de mon défunt mari et l'amour qu'il avait eu à enseigner à notre fille tout ce qu'il savait à ce sujet, j'envoya donc Amyline chercher de l'aide à l'échelle galactique, en lui confiant un vaisseau de pointe que Damian avait conçu et perfectionné dans son atelier secret. C'est lâche, me diriez-vous, mais il n'en était rien car en tant que souveraine, il était de mon devoir de maintenir l'ordre dans mon royaume sans défaire à mes promesses. Bien que ma blessure me faisait souffrir de jour en jour, je ne m'abaissa pas et poursuivit mon rôle alors que la foule grondait dehors. J'avais appris à me défendre, grâce aux cours d'escrime que l'on m'avait enseignée bien que j'étais une femme, mais il me fallait plus de présence pour faire le poids face à tout ce qu'il se passait et allait se passer. J'eu alors l'aide de mon frère, qui m'avait conseillé l'aide d'un de ses ami navigateur...A l'activité disons illégale à qui il avait sauvé la vie une fois et qui avait d'énormes compétences dans l'art de se battre. Et il m'entraîna, encore et encore jusqu'à ce que j'en perde le souffle, mais même dans ces moments-là, je continuait d'avancer, car je savais qu'il fallait que je sois à tout prix digne de garder ma place en tant que souveraine.
[/i]
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Sarashi Shouyu

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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeDim 5 Mai - 19:55

Rebienvenue :p , je valide
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Elysa

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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeDim 5 Mai - 21:37

Rebienvenue ! Amuse-toi biens ur le forum Very Happy
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Nathalia

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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeDim 5 Mai - 21:46

Merci, merci Razz
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Chester
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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeDim 5 Mai - 21:59

Oh non, pas elle -O-

Elysa, je t'interdis de parler à cette cafteuse Evil or Very Mad
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Deimos

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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitimeLun 6 Mai - 17:02

Venant d'un clown, est-ce vraiment sérieux ce que tu demandes à @Elysa, @Chester ? Very Happy

Ma pauvre @Nathalia, à peine arrivée que tu t'attires déjà les foudres et la jalousie de certains Razz

Belle présentation ceci dit, à moi d'enchaîner avec Lysias Wink
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MessageSujet: Re: Présentation de Nathalia   Présentation de Nathalia Icon_minitime

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